la salle de l'horreur [ PV: Alexander Acker]

Mon réveil sonnait, je tournait la tête en direction du cadran * Oh non!!! déja sept heures!!!* je me levais, dejeunat trés frugalement, il était alors sept heures et quart, je fis ma toilette puis j'attendait mon camarade de classe: Alex Acker qui venait me chercher pour aller au lycée, il était maintenanthuit heures moins le quart, d'enormes flocons de neige jonchaient le sol, la lueur des reverbères se reflétait sur cet épais manteau blanc. La neige craquelait sous nos pas. Arrivés en fin au lycée, nous nous rendions devant notre salle ( le labo d' SVT) il etait huit heures dix et toujours aucune trace de notre professeur. Un consciliabulle s'etablit alors entre tout les bons amis de notre classe. Aprés cinq minutes de discussions intenssene porte claqua et la prof apparue, elle nous ouvrit la salle, nous nous installions, Alex etait a coter de moi puis la sonnerie se fit entendre, et la voix de la prof par la même occasion "- Sortez vos cahiers, taisez vous" et nous voilà partit pour un cours de géologie trés poussé et non moins poussif. Et puis au bout d'un petit moment "- bon les jeunes, soyez sages, je vais a la salle de reprographie" "- Oui madame!!! comme toujours!!!" et de ce pas, la prof s'en allat et tout le monde rengait ses affaires. quelques instants plus tard la prof fit irruption dans la salle. Aprés quelque minutes d'atente, elle ous autorisa enfin a partir, tout le mond quittait la salle, tous sauf un: Alex. La porte se refermat violement et un silence de mort envahit soudain le couloir dans lequel je l'attendais... et puis d'un coup, un cri, strident, je fus petrifié par ce cris horrible. quelque secondes aprés la porte s'ouvrit timidement et Alex en sortit, passant sa manche sur sa bouche [...]

La porte se referma comme par poussée par le vent, hors, il n'était possible qu'il y eut du vent en ce lieu, les fenêtres étaient encore fermées, aucune brèche, rien ne pouvait laisser passer une brise même des plus légères, il fut donc étrange de remarquer avec quelle violence la porte se referma. Tous mes camarades, y compris l'un de mes plus proches amis, Collins, Matt Collins, un des rares à qui j'adressais la parole, bref, mes collègues étaient sortit, notre professeur avait fait de même elle était déjà arrivé dans la salle détente réservée aux employés du lycée. Moi ? Et bien j'étais assis au même endroit, silencieux, regardant en face de moi. Arborant, en face de moi, fièrement son tout nouveau téléphone portable, elle me racontais comment elle avais fait son compte pour obtenir son joujou électronique, je n'en avais que faire, je décidas donc de me lever, je pris mon sac d'une main, de l'autre j'arrachai le téléphone portable de la jeune fille pour le lancer à terre, tout en sautant à pieds joints sur celui-ci. Bizarrement, elle émis un cri des plus stridents, ne supportant pas ceci j'apposai donc ma main contre sa bouche, soufflant un léger "Chuuu..." elle me fixait, je voyais mon reflet en ses yeux bleus, visiblement j'étais mal vêtu aujourd'hui, je lui souffla ceci "J'suis mal habillé ?" Par peur elle agita vivement sa tête en signe de négation et me regardais les larmes aux yeux, ne sachant pas jusqu'où je pouvais être dangereux. Au bout de quelques secondes de silence je l'empoigna par la gorge et approcha ma bouche de son cou... Sachant que je ne devais pas laisser un cadavre aussi en vue, je décida d'ouvrir le placard à microscopes et je réussis, en forçant quelques peu je doit dire, à caser son corps dénuer de vie dans le meuble. Le sac bandoulière dans la main je m'approchais de la porte, l'ouvrit tout en m'essuyant la bouche de ma manche.

-" qu'as tu fait Alex?"
il me repondis tout simplement qu'il avait bu, or je n'avais jamais vu d'eau colorer de rouge. En plaisantant je lui lancait
-" ta bu du sang c'est ca?"
je pus deceler un sourrire gener, au bout de quelque secondes d'hésitation, il me dit que c'était de la grenadine. Et puis nous arrivions en cours de math, moi? plus je regardais Alex, plus il me semblait étrange, mais peut-être n'était-ce qu'une impression, un pré-sentiment. Mais je ne pouvais pas croire que mon pote était un criminel. Et puis une fois chez moi mon cerveau se mit en ébullition
* il a vraiment bu de la grenadine, il a manger un sandwich.* mais une idée pour le moins farfelue me vint a l'esprit * peut-être était-ce un vampire* quoi que peut probable, je n'ecartait pas cette derniere possibilité. Et puis de toute façons, le prochain cours de biologie est prévu pour demain. Il était tard désormais et je ne sais pas trop comment je pus trouver le sommeil. Le lendemain, aprés le cours d'Espagnol, je me dirigais vers la salle de biologie, j'était seul dans le couloir, et je sentis une odeur rance dans ce corridor. Alex fit son apparition et nous discutions,
-" alors ton cours d'Espagnol?
ba comme un cours d'Espagnol...
Et ton cours d'Allemand?
ma prof n'etait pas la.
dis moi tu ne sent pas comme une odeur de moisi Alex?
non et toi?
oui c'est vraiment trés trés fort.
bizar je ne sens rien"
et pourtant tout le monde avait la main sur le nez, Alex etait seul a ne pas sentir. Et puis notre prof arriva, on s'installait et l'odeur nous prit aux tripes, la prof décida d'aller inspecter la salle... se dirigeant vers l'armoire, elle marqua un temps d'arrêt et puis courru vite vers son estrade et puis un cris rompus le silence
-" arrrrrgh... l'armoire"
tout le monde se tournait vers l'armoire, et on vit tous un petit animal rempant qui s'apparentait à un cafard [..]

[M.C]

" arrrgh... L'armoire !" Tout mes camarades, moi y compris, tournèrent la tête vers la dîtes armoire, ils virent tous la même chose, un cafard, l'insecte rampait sur la poignée du meuble tentant d'y entrer. Dans un élan de courage notre professeur attrapa l'insecte, certes sous des gants de latex, mais, elle l'attrapa tout de même ! Elle s'approcha d'une des paillasses puis la contourna se dirigeant vers une fenêtre qu'un élève avait ouvert pour tenter de chasser l'odeur nauséabonde, elle jeta dehors la bête puis rebroussa chemin en direction de l'armoire, elle en saisit alors la poignée métallique, l'abaissa, et finalement ouvrit l'armoire. En quelques secondes elle fut assaillie par les microscope tombant sur elle, la forçant à se coucher à terre sous un tel choc, chose étonnante, elle fut aussi assailli par des centaines de cafard, ces derniers disparaissant aussi vite qu'ils étaient apparus. Un long et puissant cri s'échappa de l'ensemble de la classe, ou presque, en effet, moi, j'étais rester calme et neutre tout le long de ceci, sans aucune émotion à proprement parler, je n'eus pas l'impression d'être étrange, même si un camarade en face de moi me lança en se retournant un "Comment tu peut rester aussi inexpressif ?!" Je ne lui accorda pas de plus grande attention et me leva, ramassa mon sac, je me dirigeais vers la porte quand tout à coup une des élèves hurla "Un cadavre !" Je marmonna un juron, me retournant vers le corps je remarquais alors que notre professeur était face au corps sans vie. Je décidas donc de voir ce qu'il allait se passer, sans surprise, L'institutrice fit signe à tout le monde de sortir de la classe, je fut le premier à me retrouver dans le couloir, attendant, le dos contre le mur, étant un vampire je pouvais sans difficulté mieux entendre ce qui se passait derrière la porte close, notre professeur avait par chance pu trouver dans la salle en face un collègue anciennement policier, ce dernier examina le corps et en déduisis une chose, elle était morte il y a peu de temps. Pendant ce temps mes camarades, filles et garçons étaient tous en pleine discussion sur "Comment la jeune fille avait pu se faire tuer ?" Aussi vite que la propagation de la lumière, un nom revint sur toutes les lèvres, le mien "Il paraît que c'était le dernier dans la classe avec la fille !" Marmonnant tous ceci je n'y prêtais pas attention, les regards noirs envers moi ne me préoccupait guère, j'avais vécu pire en Allemagne quand j'étais encore vivant, enfin... Une des élèves de la classe s'approcha donc de moi, je ne puis dire que je l'aimais bien, en effet cette dernière, qui se tenais en ce moment même en face de moi, était plus que détestable, elle me regarda tout d'abord de haut en bas et commença à m'interroger comme une enquêteuse :
"Tu sais Alex'...
-J't'arrêtes tout de suite, je t'interdis de m'appeler par mon surnom, y'a que mes amis qui peuvent faire ça, hors, tu n'est pas mon amie." Dis-je en lui coupant la parole d'un ton sec, elle reprit donc la parole.
"Bon, ok...Tu sais ALEXANDER" elle accentua mon prénom pour montrer son mécontentement "Il paraît que tu étais le dernier à avoir été dans la classe avec la fille... C'est vrai ?"
Je laissa s'écouler un long silence, et regarda l'adolescente dans les yeux "Ouais j'étais le dernier avec elle ! Et alors ? Tu va en déduire que c'est moi qui l'ai tuée parce que tu ne m'aime, tout simplement, pas ?" Elle se tût finalement et revint à la compagnie de ses amies tout en crachant ceci "Attends, t'as vu comment il me parle ? J'suis pas une gamine, moi ! Il se prend pour qui ?!"

étant copain d'Alex, je fut quelque peut toucher par ces phrases aussi futiles soient-elles. Comment des jeunes pouvaient remettre ainsi en doute la crédibilité de notre propre camarade? aussi, je n'emetais aucun doute quant à l'innocense de mon pote. En effet, je savais qu'il était imcapable de faire du mal à une mouche. Mais toute la journée, les rumeurs allérent bon train. A midi, devant la salle d'Italien j'entendit noémie ( bien joli prenom, dommage qu'il soit ainsi gacher par une telle mentalité) parler avec une de ses camarades. -" moi, je suis certaine qu'Alex est le coupable, il était seul avec Sindy ce jour là..." cette phrase eut l'effet d'une bombe, tout le couloir déblaterrait maintenant sur Alex. -" Il faudrait le capturer et le torurer..." toutes ces débilités m'exéderent et je décidait de sécher ce cours et de retrouver Alex sur la grande place. Il n'avait pas l'air perturber pas tout les propos qui lui avaient été rapportés. Moi, je lui fit cependant le récit de toutes les idioties dont j'avais été le temoin. Il ne le prit pas mal, au contraire il semblait vivre pour le mieux cette période plus que délicate. C'est ce qui me fit dire qu'il était blanc comme neige. Aprés une bonne demi-heure de discussion portée sur sa personne, nous avons decidé d'aller en cours d'histoire, et de nouveau, une fois devant la salle un brouhaha enormissime des phrases captées en plein vol -" il est coupable, c'est certain." ou bien encore -" c'est lui, c'est le tueur du lycée." ne prétant pas la moundre attention ni a l'égard de ces phrases ni a leurs orateurs, nous nous installions comme a notre habitude l'un a coter de l'autre. Ma copine était devant nous, elle se retourna et lanca a Alex -" je sais que tu es innoncent, je te fais confiance." Alex était content, il sentait qu'il n'etait pas seul contre tous. Puis la journée suivit son cours, entre parole déplacées, gestes inopportuns et obsolètes, grosses injures... Nous approchions du terme de cette journée qui n'etait pas des plus agréable. Nous étions en maths, c'était la derniere heure de la journée, la sonnerie retentit. tout le monde sortit a une vitesse phénoménale de la salle. Mon pote et moi prenions notre temps et le prof voyant qu'il était seul face a nous, lacha un timide -" ne me tuez pas je vous en supplie, ne me tuez pas." nos regards se croisérent et nous éclations de rire. Ne prenant meme pas la peine de répondre a cet esprit trop faible, nous empruntions les escalier, mais oh surprise!! arrivés devant le lycée, un regroupement assez impressionant de lycéens nous attendaient. [...]

Visiblement certains pensait que je n'étais pas un tueur froid et complètement fou, dommage qu'ils avaient tort, étant donné le fait que j'étais un tueur froid et complètement fou --oui je me répètes et c'est voulu-- , les deux seuls j'en ai bien l'impression qui ne pensaient pas que j'étais un meurtrier étaient mon ami Matt et sa petite amie, qui me semblait familière, passons... Nous entamions notre fidèle parcours pour quitter le lycée, quand soudain, à notre plus grande surprise nous découvrîmes une foule emplie d'abruti, en particulier par cette fille qui en début de journée m'avait questionner sur mon implication dans la mort de la jeune fille, elle était accompagnée de toutes ses amies/suivantes y compris d'une foule de jeune adolescent que nous appelons mes amis et moi des "wesh" , l'un deux me pointa du doigt et s'écria "Wah c'est lui l'meurtrier ! Faut le défoncez !" Ils furent trois à me foncer dessus, je fis reculer mon ami en le poussant de la paume de ma main, il fut quelque peu étonné de la force que j'exerça sur lui de ma simple main, tandis qu'il restait étonné, les trois garçons me sautait dessus, l'un deux m'attaqua de face, d'un mouvement lent, les mains dans les poches je l'esquiva, l'un de ses confrères fit de même mais me manqua de peu. Deux, il en manquait un, je ne savais pas où il se trouvait, je regardais autour de moi jusqu'à ce que je me fasses empoignés par le torse par le troisième, celui-ci était un vicieux, il s'était caché pour pouvoir m'attraper par derrière ! Tout en me serrant très fort, l'un des deux autres restant s'approcha de moi, le poing serrer, il n'était pas compliqué de savoir où il allait en venir, ce qui fut attendu arriva, il commença à m'asséner de coups de poings dans le ventre. J'en crachais ma douleur, tout en laissant le jeune homme faire son office, Noémie, la jeune fille de tout à l'heure, s'approcha de moi et commença à me dire d'avouer mon crime, j'abaissais la tête, quelques goutes de sueur dégoulinant de mon visage allaient s'écraser contre la terre, je laissa échapper un rictus nerveux, relevant la tête, cette fois mes yeux verts avaient revêtu un noir profond, je la fixait avec un regard de fou, elle recula de quelques centimètres sous le coup de la frayeur. Je me redressais en usant de mes dernières ressources, j'attrapais les avants-bras de celui qui m'empêchait de bouger et commença à les lui écraser, il cria sa douleur dans un long ''Rah'' il recula se tordant de douleur, peut-être lui avais-je casser les os ? Ceci ne serait pas grave pour un abruti comme lui. Le deuxième des trois "guerriers" prit peur et s'enfuit en courant, je ne le retins pas, le regardant courir au loin comme une fillette. Mon visage se tourna, enfin, vers le dernier des trois, il avait pris cette fois une position de boxeur, quant à moi je me tenais droit, j'attendais de voir ce qu'il allait faire pour me blesser. Au bout de quelques minutes d'attentes il commença à sauter sur place et se décida enfin, au bout d'une quinzaine de secondes à avancer vers moi, je me retint de rire devant une telle façon de se battre. Il ne fit pas attention à mon expression et commença à frapper l'air sur les coté de mon visage, surement pour m'intimider, lorsqu'il se décida enfin à attaquer mon visage je n'eus qu'à pousser de ma jambe son pied droit, pour le faire tomber. J'allais en direction de mon sac pour le ramasser, quand il se releva et sortit un couteau de poche, Matt s'écria alors "Attention !" Je fit un tour complet et me protégea le ventre à l'aide de mon sac, le couteau était bloqué dans les coutures à présent et le lâche ne voulait nullement s'en défaire, il tirait de toute ses forces, moi, j'approchais ma tête de lui, entrouvrit la bouche, laissant paraître mes canines de vampire, il fut tellement surpris qu'il tomba à la renverse et disparut au loin comme son ami tout à l'heure. Je regardais Matt et lui dit "On y va ?" D'une voix aussi normale que d'habitude, sans aucun stress, sans aucune émotions.

Aprés cet épisode pour le moins étrange, nous nous métions en route, je raccompagnais Alex chez lui, et en route, nous papotions j'était toujours sous le choc de cette risk. -" je ne savais pas que tu avais une telle force Alex.
- Eh bien! ( me dit-il avec un petit sourrire mesquin) pour être honnete, moi non plus!!" Il est vrai qu'il avait essuyer un assaut de trois personnes bien plus barraqués que lui, cependant il ne semblait pas toucher par le comportement que les autres avaient eut à son égard, mais je lui posait une question qui le mit mal à l'aise -" au fait Alex, comment se fait-il que lorsque tu avait Noémie en face de toi, tu as juste ouvert la bouche et elle a reculée d'un coup comme ça?" il mit du temps a me répondre, de toute évidence, il préparait ces mots, je notait ce silence. Et puis, il le rompit -" Eh bien! je lui est simplement dit que si elle ne partait pas, il lui arriverait la même chose qu'aux garçons..." * il me prend vraiment pour une bille, il n'a fait qu'ouvrir la bouche.* mais je ne voulait pas lui faire part de mes doutes, pas de suite en tout cas. j'acquiesait -" Tu m'etonnes!!! elle tient a la vie. Il esquissa un petit sourire. Nous arrivions devant chez Alex, il logeait tout en haut de la ville, il était aux environs de cinq heures, un coucher de soleil dominait les grands immeubles. Alex devait rentrer chez lui, je le saluais et rebroussa chemin. Je me mis a cogiter * pour quoi m'avait-il mentit? allait-il me réveler la verite aussi farfelue soit-elle?.* je voulais à tout prix connaitre la vérité. Je decidais alors de demander à Alex de façon direct de me dire la verite. Et c'est ainsi que le lendemain il vint me chercher et j'engageais la discussion -" Ca va Alex? tranquille ta soirée?" il me répondit qu'il avait passé une bonne partie de la nuit sur internet, nous nous metions en route vers le lycée et je choisit un momet adequat et posa ma question -" dis moi franchement Alex, comment en ouvrant la bouche, tu fait détaler Noémie?" il hocha la tête, et me répondit -" c'est à cause de mes dents." je lui dit que tout le monde avait des dents. ( je n'avais pas saisit le sens de sa réponse) pour moi, il n'y avait qu'une seule possibilité ( étant donné qu'il ne souriait jamais à plaine dents) Alex avait une carie. Les filles n'aiment pas les caries. C'etait alors la seule explication rationnelle que j'ai pu trouver. [...]

"Dis moi franchement Alex, comment en ouvrant la bouche, tu fait détaler Noémie?" Cette petite question se répéta sans cesse dans ma tête, qui sais, mon fidèle ami allait peut-être découvrir ce que j'étais ? Je n'en avais guère peur, en effet, je le savais compréhensible, je ne doutais point du fait qu'il ne prendrais pas peur de moi en sachant, si je lui avouais, ce que j'étais, je lui lança cette réponse vague "C'est à cause de mes dents." Peut être ne comprendrait il pas où je voulais en venir, cela n'était guère important, je ne tenais pour le moment à être clair et précis, tout ce qui m'intéressait était de garder le secret, du moins, pour le moment, sur ma véritable nature. Ceci était surtout par peur de représailles à mon encontre, comme en cette année mille neuf cent quinze, où l'un de mes camarades de front, m'avais pris sur le fait en train de déguster un soldat ennemi, il comprit alors vraiment pourquoi on m'avait surnommé "Le saigneur" , certes, ce surnom n'étais pas attirant, mais en temps de guerre, un rien d'intimidation était vital ! Revenons à nos moutons, Matt et moi marchions sur le chemin du lycée, quand je décida de lui faire part de quelque chose, je tourna la tête vers lui et lui expliqua après ce long silence sur mes dents, que je disposais de prothèse de canines vampiriques, étant donné le fait que je lui avais raconté maintes et maintes fois que je désirais plus que tout au monde en avoir, il ne pu que me croire, et pour lui prouver ceci, je lui montrais alors l'intérieur de ma bouche et, en effet, je disposais des dîtes canines pointus de vampire, il lança un long ''Woaw'' normal étant donné qu'il n'avait jamais vu de telles crocs. Je refermais ma bouche gardant mes canines sous leur forme habituelle, à savoir, la forme vampirique de mes dents, au cas où je devrais avoir mes dents visibles.

[HRP : Pas trop inspiré...]

Effectivement, je n'avais jamais vu de tels crocs, ils étaient tellement pointus. Je n'etait toujours pas rassurer, il est vrai que je ne saisissait pas l'interet d'avoir des canines de la sorte alors qu'on est étudiant. je me posait une question " dans quel but?" ne trouvant pas de réponse a ma question, je décidait alors de demander des explications plus amples a Alex. alors aprés notre journée de cours, je lui posait une question " Alex, dans quel but t'es tu fait poser ces crocs?" il ne parut vraiment pas gené par cette question, au contraire, il parut même soulager. -" Matt, je m'attendais a ce que tu me pose cette question. Alors en tout franchise, ce sont des vraies dents..." comme a son habitude, Alex ne me livra pas plus de détails que cela. Alors que devais-je penser? Alex s'était-il limé les dents? ou peut-etre était-il une creature fantastique: un vampire? je rentrait chez moi, d'un pas pressé car il y avait un docummentaire que je ne voulais rater sous aucun pretexte: " les coulisses de la guerre" je poussais la porte d'entrée, jetait ùon sac de cours dans les escalier, allat me servir un verre de soda, et je pris enfin possession du canapé. Je me mis donc sur la chaine " histoire" et fut de suite captiver par ce documentaire, et puis le film fis un gros plan sur des soldats, ils etaient tous fatigués, sales, édentés. Et puis il y avait un soldat a l'ecart, un fantassin je crois, il était agenoullier devant un cadavre de soldat ennemi, (cet homme ressemblait traits pour traits a mon pote Alex), il était en train de lui mordre le cou, la caméra s'approchait, quand il s'en appercut, il s'enfuit. Je fus assez perturber par cette vision d'horeur. Et si aprés tout mon pote de longue date était un vampire centenaire.

Il était trois heures du matin, j'etais endormis, mais je fus bientot réveiller reveiller par une odeur et d'alcool, et aussi de vase stagnante, je me leva d'un bond, descendit dans la cuisine, rien, les plaques étaients éteintes, le four ne marchait point, et j'enspectait ainsi toutes les piéces de mon appartement, je remontais me coucher et décidement l'odeur était extremement présente dans ma chambre, aussi decidais-je d'ouvrir ma febêtre de chambre, et avec stupeur je pus comptempler un cercle de feu, un homme a l'interieur et un autre qui le regardait, à genoux, derriere ce cercle. Je pensais d'abord à une sorte de rite religieu, mais en pleine rue cela me semblait un peu compliqué, et puis, seconde vue d'horreur l'homme qui était dans le cercle de feu et que je croyais assis, brulait, et il se débatait comme un beau diable, luttant contre les flammes, le pauvre homme n'avait aucune chance. Je saisit mon portable composa le "18" les combatants du feu arriverent presque immediatement, à l'approche des sirénes, le second hommes s'enfuit, les pompiers, et la police arriverent sur les lieux, ils n'eurent aucune difficultés a maitriser un petit feux, il faut dire qu'ils sont bien équipés. La police prenait des photos, des notes. Je lus le journal du lendemain, et comme je m'y attendait, le crime y était relater en premiere page. Je lus furtivement les conclusions des enquêteurs, il ne s'agissait pas d'uns chs ( combustion humaine spontanée) bref, cette affaire était vraiment etrange. Je m'assis sur le banc en pierre où nous avions l'habitude de nous retrouvez Alex et moi, je gardais le journal prés de moi, quand Alex arriva, je lui dis -" regarde a la page I, ca c'est passé hier dans la nuit et juste en dessous de chez moi..." il ne parrut pas du tout surpris, il prit le journal en fit une vulgaire boulle de papier, et le jeta dans la poubelle d'a coter.

"regarde a la page I, ca c'est passé hier dans la nuit et juste en dessous de chez moi..." Il me tendit alors un de ces journaux que les mortels lisent pour s'informer de leurs confrères dans le monde, je lus l'article et compris qu'ils avaient enquêter pour trouver le fin mot de cette histoire d'incendie volontaire, ne laissant, comme à mon habitude, je ne laissa aucune émotion paraître. Je pris le bout de papier de mes deux mains et en fis une boule compacte que je lança alors dans la poubelle derrière nous. Tout en accomplissant ce geste je laissa s'échapper un long soupir rauque, la tête baissée je regardais mes pieds, puis, au bout de quelques secondes je releva cette dernière et lança d'un ton enthousiaste "Ne faisons pas attention à des pyromanes, il brulera ses propres ailes à se croire invincible !" Je souriais, du moins je faisais mine de sourire comme un humain, et je le regardais.

Une chose me vint à l'esprit, peut-être les représentants de la loi avait pu retenir quelque chose de ma carrure, ou même avaient-ils pu voir mon visage ! J'avais aussi en tête le risque que Matt, ici présent, avait peut-être aperçu quelque chose qui aurait pu lui mettre la puce à l'oreille sur l'identité de l'incendiaire, à savoir, moi. Je souffla à nouveau, m'approcha du banc où mon sac gisait dessus, l'ouvrit d'une main et le tira en arrière vers moi, j'y plongea ma main libre et en ressortit, au bout d'une dizaine de secondes, une cigarette, sous les yeux écarquillé de Matt qui me posa cette question si... Appropriée "Tiens, tu fumes, toi, maintenant ?" Je fis basculer ma tête d'avant en arrière en signe d'approbation et pris dans ma poche un briquet en argent. Tout en allumant mon petit bâton empoisonné je m'asseyais à terre en tailleur, j'en profitais aussi pour lever la tête au ciel et regarder les nuages blancs. J'abaissais ma tête au bout de quelques minutes et précisa tout en mettant ma capuche sur ma vieille caboche "Il va pleuvoir, couvre toi." Matt n'avais pas l'air de comprendre où je voulais en venir, car, pour lui, le ciel était si bleu qu'il n'y avait aucune chance pour qu'il se mette à pleuvoir maintenant, il ne fit donc rien pour se couvrir, mais, trois minutes après ma prévision, il se prit de plein fouet les gouttes d'eau qui dégoulinaient de lui pour aller s'écraser à terre dans un petit clacquement.

[HRP : arrêtes dont de me faire parler ><]

"comment as tu fait ?" Cette question pourrait lui paraître normale, tandis que moi, je trouvais cela complètement inutile, je lui répondis cette habituelle phrase qu'il ne comprenait pas vraiment. Comme à chaque fois que je répétais cette phrase, il tordait son esprit dans tout les sens pour tenter de me comprendre. Tandis qu'il tentait encore de comprendre cette remarque nous nous rendions lentement au lycée. Lorsque nous arrivâmes dans l'édifice nous nous dirigions en salle de physique-chimie, ma surprise ne fut pas grande lorsque je vis des agents de police, plus précisément de la Brigade Anti Criminel, à peine eus-je le temps d'entrer dans la salle qu'ils me sautèrent dessus, tentant de m'immobiliser, ils furent projeté en arrière par mes soins, je ne prêtais, à présent, plus aucune attention sur le reste de mes camarades de classe. Ces derniers pouvaient à présent voir ma vraie nature, un vampire complètement fou et assoiffé de sang. En effet, je me jetais alors sur les hommes les mordant les uns après les autres, laissant leur sang dégouliner sur le sol pour se rejoindre en une marre immense de ce liquide rouge. J'étais à quatre pattes à terre, une longue coulée rouge sur les deux cotés de ma bouche, je leva les yeux en face de moi, mes globes avaient à présent une couleur rouge très claire ceci du au fait que je venais de boire énormément de sang. D'un regard vitreux j'observais toute l'assemblée, j'étais même prêt à bondir sur certaines personne pour les vider de leur sang.